À ma tendre F.C.
Mes Ennemis
D'un coin de l'œil observent ma chute,
D'un dédain absent complotent mon sommeil éternel,
Pensant sans doute que je ne suis qu'un, que je ne suis plusieurs,
Pensant que je suis brindille, bois d'ébène fatigué.
Seulement, "il" est là,
Là ; et las de ces argousins :
Godelureaux fétides et incapables,
D'une volonté flexible et palpable... arrivent
"Il" me relève soudainement,
Moi qui faillit au combat,
Mercure, répond à son symbole, et sort sa massue ;
Jupiter, répond à son symbole, et devient colère.
M. répond à mon appel et exhorte ma rage.
Soudainement je me relève aussi,
Naguère fatigué, jadis de forces amoindries.
"CE QUI NE ME TUE PAS ME REND PLUS FORT!"
Je ramasse ma lance d'acier et d'éther,
Pour la plonger dans le poison.
M. guide mes gestes et mes paroles.
M., guide mes mots et annihile mes maux.
Le combat terminé je tombe à nouveau.
Seulement ici trouve le soulagement,
Dans le sol d'argile et de sang,
A dormir encore, et rêver,
De jours meilleurs, de jours de beauté fanée.
Mon œil malade et mes blessures pansées,
Constat de jeune réveillé,
Je me souviens,
Mlle. F.C. est là, une force incomparable.
Je vois flou et pourtant,
Ce qu'elle m'envoie ne se constate pas par la vue,
J'ai un cœur, maudit et faible,
Mais assez vivant encore, pour.
Constater, la pureté, la véracité, de.
Son amour, fraternel.
Par delà les épreuves, par delà la mort (fin del siecle),
Elle pourra compter sur moi, et sur M.,
Deux en un pour en faire vivre une,
Deux en un pour de sa vie recréer le paradis,
Deux en un, pour qu'un jour, l'un, la fasse sourire : for altid.
D'un dédain absent complotent mon sommeil éternel,
Pensant sans doute que je ne suis qu'un, que je ne suis plusieurs,
Pensant que je suis brindille, bois d'ébène fatigué.
Seulement, "il" est là,
Là ; et las de ces argousins :
Godelureaux fétides et incapables,
D'une volonté flexible et palpable... arrivent
"Il" me relève soudainement,
Moi qui faillit au combat,
Mercure, répond à son symbole, et sort sa massue ;
Jupiter, répond à son symbole, et devient colère.
M. répond à mon appel et exhorte ma rage.
Soudainement je me relève aussi,
Naguère fatigué, jadis de forces amoindries.
"CE QUI NE ME TUE PAS ME REND PLUS FORT!"
Je ramasse ma lance d'acier et d'éther,
Pour la plonger dans le poison.
M. guide mes gestes et mes paroles.
M., guide mes mots et annihile mes maux.
Le combat terminé je tombe à nouveau.
Seulement ici trouve le soulagement,
Dans le sol d'argile et de sang,
A dormir encore, et rêver,
De jours meilleurs, de jours de beauté fanée.
Mon œil malade et mes blessures pansées,
Constat de jeune réveillé,
Je me souviens,
Mlle. F.C. est là, une force incomparable.
Je vois flou et pourtant,
Ce qu'elle m'envoie ne se constate pas par la vue,
J'ai un cœur, maudit et faible,
Mais assez vivant encore, pour.
Constater, la pureté, la véracité, de.
Son amour, fraternel.
Par delà les épreuves, par delà la mort (fin del siecle),
Elle pourra compter sur moi, et sur M.,
Deux en un pour en faire vivre une,
Deux en un pour de sa vie recréer le paradis,
Deux en un, pour qu'un jour, l'un, la fasse sourire : for altid.