Il y a des gens comme ça, tu marches tranquillement dans la rue,
et ils viennent te déranger dans tes pensées.
Soit.
Ils t'insultent.
Soit. Et alors ?
Ce genre d'insecte ne mérite pas mieux qu'être broyé par le pied de Gargantua.
Et pourtant.
On parle du réchaufemment de la planète, mais on ne dénonce pas ces chaudasses dans la rue !
C'est vrai qu'elles ont la vie difficile...
Il doit pas faire chaud sur tous les trottoirs.
Et, vous voyez, ces choses qui polluent autant les trottoirs de Vierzon que la merde de chien
(et c'est pour dire),
Aiment à te traiter de pute, te considérant comme leur égale.
Et là je dis non.
Certains luttent contre le trou de la couche d'ozone,
Moi je lutte contre le réchauffement de la pintade.
Emancipe ton trou sale plante verte !
Ne laisse pas ton humus polluer ma rue !
Mais souviens toi, quand tu seras caissière à Champion,
De ce jour où tu as cru pouvoir t'attaquer à moi,
Celle qui viendra t'acheter des petits pois,
Ceux que tu n'as même pas eu la chance d'avoir dans la tête !
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2 commentaires:
C'est comunicatif, ce poème rend la hargne ... D'ailleurs elles avaient de la chance d'êtres parties quand on était arrivés ...
C'est vrai je leur aurais bien arracher deux ou trois dents ...
Hi hi hi !
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