Cupidon je te hais.
Dans mon cœur il a planté,
Une flèche noire et ébréchée.
De son métal rouillée me souille les veines,
D’un espoir refoulé m’enduit l’esprit.
Ô rage…
Dédain ; ouvre lui les yeux … ou crève les miens.
Que je n’aie plus à supporter,
Un visage où les larmes ont coulées.
vendredi 13 juin 2008
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