Le souffle chaud d'un sirocco dans mon être,
Amène la poussière à voler... dans mon habitat...
Le tonnerre gronde et la nuit est noire.
Les nuages glissent dans le ciel,
Se répandent en pestiférés bubons outre-tombe...
Une lueur.
Un rayon de lune dans ma chambre,
Met en valeur la poussière éternelle.
Celle qui reste, celle qui réside.
Attention à ce qui s'incruste,
Tout ce qui vit n'est pas que bonheur.
Tout ce qui reste n'est pas glamour.
Tout n'est pas, et tout ne reste pas.
Une glace éternelle se forme,
Au milieu de ce lit,
Une glace éternelle,
Pour toujours.
Un rayon d'espoir naquit,
Dans le journal d'un fou à lié.
Un espoir vécu sous la forme d'un rayon,
Par la plume du fou à lié.
Toi qui lit, toi qui vit.
ADMIRE! Agenouille toi,
Devant mon merci ...
Je tiens à remercier tous mes proches,
Qui m'ont encourager à écrire encore et encore,
Floriane, Simon, Pierre, Anaïs, Jean-Marie... Merci.
I shalt thank thee afterward Mr. M.
mardi 10 juin 2008
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